Galerie

Alissa

Née à Yaoundé Cameroun en 1972, Alissa arrive dans la froide France à l’hiver 1975. Cette perte du paradis, elle la compense déjà dans ses premiers souvenirs par le dessin et les couleurs. Malgré les recommandations de ses professeurs d’arts plastiques, Alissa n’obtient pas de soutien familial dans sa volonté d’étudier des techniques de dessin et de peinture. Elle se résout à faire des études de lettres. Après quelques mois en hypokhâgne à Grenoble, elle décide de se plonger plus avant dans les lettres classiques à l’université en ajoutant ce parcours à celui de lettres modernes. Grâce ensuite à une maîtrise puis un DEA sur la littérature et le cinéma, elle peut se consacrer un peu à l’étude de l’écriture visuelle mais, il lui faut bientôt enseigner pour subvenir à ses besoins. Cependant elle déteste le métier d’enseignante de français et après la naissance de son troisième enfant, Alissa choisit de ne plus se consacrer qu’aux arts plastiques. Elle passe d’abord un an enfermée chez elle à peindre (2006) puis fait une résidence d’artiste de 6 mois à la Bifurk (2007). En 2008, elle crée une association, artiSens, afin de former un collectif d’artistes qui, ensemble, pourvoient au bon fonctionnement d’un lieu de travail et d’exposition. Elle y anime également des ateliers d’arts plastiques. En 2015, elle crée une nouvelle association qui s’appelle aujourd’hui artSème où elle a son atelier et des murs pour exposer.

alissa-dartseme.com

Michel De Mingo, peintures

https://www.facebook.com/michel.demingo

https://www.artmajeur.com/micheldemingo

Le développement de l’activité humaine a entraîné une activité industrielle exponentielle. Nous sommes nombreux à produire ou à consommer des objets, des contenants, sans se préoccuper de leur avenir.
En tant que designer et publicitaire, j’ai participé aussi au développement de cette consommation.
Notre civilisation déverse dans la nature et les océans une masse estimée à plus de 2 milliards de tonnes de déchets par an.
Une partie de ces déchets est ingérée par les poissons et mammifères marins les blessant ou les détruisant.
Ils viennent également s’échouer sur les côtes au gré des courants et marées. Mon projet est de sensibiliser l’ensemble des publics en utilisant l’art comme média.
En recueillant ce concentré de civilisation dans ce qu’elle a de plus nocif et en l’utilisant comme matière première, je souhaite lui donner une nouvelle vie. Une vie que j’espère durable, un message pour dire que tout élément peut être réutilisable. Comme le kintsugi dans la culture japonaise (l’art de restaurer des objets cassés, non pas en dissimulant les fêlures, mais en les sublimant avec de l’or), nous nous devons de transformer l’usuel et le banal en poésie et lui redonner du sens.
Ce qui caractérise l’artiste est sa capacité à déceler la poésie là où l’on ne pourrait voir que le banal ou l’usuel.
L’esthétique, la vision créative et l’exigence artistique sont nécessaires, au delà d’une simple accumulation qui nuirait à l’intention.

Instagram :gerardbrun_artwork

Catherine Brun, sculptures, « Etres-anges »

Anges joufflus et baroques, chérubins innocents ou annonciateurs bibliques, toutes ces créatures ailées parsèment les religions et les cartes de la saint Valentin.
Mes anges ne sont porteurs d’aucun mysticisme.
Ce sont nos doubles de lumière, souriants et espiègles ou mélancoliques.
Parce qu’ils ne sont qu’émotion flottant dans l’espace, j’ai voulu leur donner la consistance de l’écorce. La nature qui souvent les abrite a donné des ailes à mon inspiration.
A l’image des arbres qui m’ont prêté leur chair, leur désir d’envol lutte avec leur ancrage terrien.
De ces déchirements, ils gardent quelques traces qui s’estompent et se patinent avec le temps.
Que cette découverte nous allège et nous prête la douceur aillée des anges.

Jean-Paul Rossetti

Après des années à créer des images en tant que graphiste, je ressens le besoin d’exprimer un univers plus personnel. Je m’éloigne alors de l’infographie pour revenir vers des techniques traditionnelles et sensibles. Je développe mon savoir faire et ma réflexion artistique, d’abord seul, puis lors d’ateliers d’expérimentations plastiques à l’ESAD de Grenoble.
Dans mes travaux, j’aime jouer avec l’ambiguïté des formes du vivant, que ce soit minéral, végétal ou organique. Imaginer des hybrides, tisser des liens symbiotiques, révéler les similitudes et autoriser des transformations étranges. La frontière entre réel et imaginaire devient floue. L’onirique devient alors un écrin pour mes créations.
Fidèle à un processus expérimental et pluriel, je privilégie les techniques mixtes – principalement encres, graphite et peintures sur papier.

Instagram : https://www.instagram.com/jp_rossetti

Didier Dedeurwaerder, créateur sculpteur

Ses sculptures (personnages stylisés en métal soudé et fondu) sont associées à des
objets du quotidien et à des éléments de bois et de pierre. Leurs formes épurées
simulent les mouvements du corps humain. Le contraste entre la fragilité dans le
travail de la matière martelée et brisée, comme en souffrance, et la force des
matériaux assemblés chargés de mémoire exalte leur puissance expressive.

http://www.didier-dedeurwaerder.com/

dedeurwa@orange.fr / 0676925939

Mariec Navel

INCARNAT ou le rouge incarné dans la chair de la peinture

L’incarnat désigne un groupe de couleurs situées entre le rose et le rouge orangé franc. C’est aussi la couleur de la peau rougissant sous l’effet d’une émotion. J’ai eu envie d’explorer cette gamme colorée portée par les pulsions de chaque nuance de rouge, par les vibrations chaudes de la matière incarnée sur la toile. Les empâtements, strates, traces, accompagnent la ligne. Le tracé s’enfonce ou affleure à la surface en structurant le travail… Le rouge accompagne les formes, figuratives ou abstraites, pour s’epanouir dans cette aventure vivifiante.

Elève aux Beaux Arts de Grenoble et participant à de nombreux ateliers lyonnais, j’ai approfondi ma pratique artistique auprès d’artistes internationaux ( Peter Casagrande, Giancarlo Bargoni). Je travaille seule dans mon atelier de Saint Egrève ou en communauté d’artistes à l’ACDA.

www.mnavel.com

https://instagram.com/mariecnavel/

Evelyne Sisso

Sculptrice (têtes en grès)

Dès la fin de mes activités professionnelles, j’ai pu me consacrer à mon rêve (devenu réalité) celui de créer. En 2011 la révélation : la rencontre avec la terre. Une passion a pris naissance et le visage est devenu mon thème de prédilection. L’argile est devenu ma terre d’expression. Chaque création est une naissance et je leur attribue des noms en concordance avec mes ressentis. Inviter au regard, initier des rencontres dans le silence et la sérénité, c’est tout ce que j’ai envie de partager.

sissoevelyne@free.fr
06 60 67 96 01
passionsculptures.com
Instagram : sissoevelyne

Louis GAGEZ

Je travaille mes œuvres à la peinture et au pastel à l’huile. Partant de la matière déposée par couches successives, je ponce, je gratte, je laisse couler la peinture, provoquant des accidents, des reliefs ou des contrastes. Des formes évocatrices apparaissent, des morceaux de paysage offrant une direction à mon travail. Le tableau s’organise peu à peu jusqu’à ce que le paysage se révèle dans toute son unité, qu’il soit au final réaliste, fantastique ou abstrait. L’exposition de Janvier et Février 2022 en collaboration avec Alissa permettra de découvrir ces différents aspects de mon travail.

https://louisgagez.wixsite.com/louis-gagez?fbclid=IwAR3fMj-SMnTmkFqjU6rjTCFvdiLP_EMs-dNE8WBYY6zVc-stsHCw7uv_nyA
https://duchoze.com/gagez-louis-fr/
https://www.concept-store-gallery.com/artiste/gagez-louis/

Stéphane Billon-Grand

www.3eoeil.fr

Soniac

sculptures de papier mâché avec association connexe de ceps de vignes

Soniac vit et travaille à Grenoble, depuis le virage du XXIème siècle.
Autodidacte, elle a commencé par bricoler des coquilles d’escargot pour les transformer en animaux colorés en papier mâché, par de froides nuits de l’hiver isérois 2002… Depuis, elle a évolué, et traversé diverses phases créatives.
A l’origine très fortement influencée par l’artisanat très coloré en papier mâché d‘Amérique Latine où elle a vécu une dizaine d’années, elle s’en est progressivement écarté pour développer un style propre. Ses sculptures actuelles utilisent les rebus de nos société urbaines (les journaux papier) et des champs (les ceps de vigne voués à être brûlés). Elle revendique une forme d’arte povera, fait de matériaux peu nobles, à l’image des artisans du papier mâché d’Italie, ou d’Amérique Latine. Elle veut aussi – au travers de ses sculptures – dire ce qu’elle ressent de notre société de consommation, et ce à quoi elle tient.
Bonne découverte !

http://www.soniac.fr

so_niac@hotmail.com

Jean Ribera, sculptures en métal à partir d’objets récupérés.

http://jean-ribera.com/

Isabelle Milléquant Surr

Après avoir fait trois ans d’Art plastiques et d’histoire de l’Art, un atelier de graphisme et peinture et enfin les Beaux-Arts à Paris, je me suis tout d’abord intéressée aux illustrations pour enfants (j’ai publié trois livres pour enfants sur lulu.com), puis aux collages.

Je me lance maintenant dans une recherche en peinture encre écoline avec graphisme au staetdler sur papier aquarelle.
J’exprime par le biais de ce médium le rapport entre le microcosme des cellules et le macrocosme de l’Univers et des Galaxies.
En faisant le lien entre l’infiniment petit et l’infiniment grand, j’ai réalisé des séries de peinture de différents formats avec des dégradés comprenant des variantes de bleu, allant du turquoise tirant sur des verts et enfin des bleus plus soutenus voire marine. Ces couleurs paraissent froides mais elles sont surtout riches, profondes, vivifiantes et mystiques à la fois, en alliant une dimension cosmique à cette conception du graphisme.
J’enchaîne ensuite sur une série de peintures grands formats (50/65cm) encre écoline sur les nébuleuses en les métamorphosant par un graphisme beaucoup plus soutenu, avec des variantes de différentes couleurs beaucoup plus chaudes alliant des dégradés de rouge, de jaune, d’orange, de rose tyrien tout en gardant des bleus marine, turquoise et même des violets en respectant cette notion de l’espace. Ces couleurs chaudes, vivifiantes et pénétrantes rendent un effet en profondeur, attirant et fixant le regard.

06 60 22 40 49
isabelle@surr.fr
http://isabelle.surr.fr

Charlotte Arnaud

06.76.11.66.32
arnaudcharlo@gmail.com
https://www.facebook.com/charlotte.arnaud.52012/

Maried (Marie Luce DELMEDICO)

« L’arbre à l’âme »

Il était une fois un arbre, des arbres Il était une fois une vie, des vies Il était une fois un petit morceau d’arbre accroché à l’âme, dont il se nourrit
Comme une évidence, sa présence
Il était une fois un arbre, des arbres Il était une fois des histoires de vies Il était une fois la nature humaine, ô combien complexe, et d’émotions envahie
Comme une évidence ressentie
Il était une fois un arbre, des arbres Il était une fois une formidable envie Il était une fois un arbre qui raconte les secrets des âmes, bien enfouis
Comme une évidence indiscrète
Il était une fois un arbre, des arbres…

maried-mld.odexpo.com

Lucie de Ventadour

www.lucieventadour.com

Jean-Louis Jacquiot

https://www.artmajeur.com/jl-jacquiot

Dominique Venitucci

www.seraconterautrement.fr 

Nout Lequenn 

http://noutlequen.fr/fr/

« Rêveries encrées » d’Alissa

Rêveries encrées

 

Kim Coz

http://kimcoz.fr

 

Cécile Windeck :

www.cecilewindeck.com

Marie-France Deroux :

Présentation Marie-France Deroux

Marie-Gala Perroud

PCB de mon enfance- Limon du canal de Saviere- vegetaux- tissu 20x26cm.Hybride Aout 2017- pate a modeler- vegetaux- image- 15-5x20cm. (1)

www.mariegalaperroud.fr

http://www.mariegalaperroud.fr/

facebook.com/people/Marie-gala-Perroud/100010265676908

Anne Ferrier

Sandra Juge

dossier pdf

http://www.sandrajuge.fr

https://www.instagram.com/sandraemmanuellejuge/

Stéphane Dugne

 

Fred Calichon

https://fredcalichon.odexpo.com/

https://www.facebook.com/calichon.artistepeintre/

 

Gilles Petit

Du 8 mai au 1er juin 2018
GRANDES LIGNES
Arrivé sur le pont du chemin de fer, j’ai senti que la circulation automobile ralentissait, puis elle s’arrêta. Des travaux, sans doute ! En jetant un coup d’oeil par dessus le parapet, je vis le spectacle immense de la gare de triage. Nous avançâmes encore de quelques mètres, et de nouveau je regardai en bas. Je vis les voies se livraient à une chorégraphie étrange, découpant l’espace, tantôt droites, tantôt courbes. De grandes lignes traversaient le décor de part en part. Toujours par deux, elles se rencontraient puis se séparaient, s’éloignaient tour à tour, puis se retrouvaient côte à côte, faisant naître des espaces géométriques. Elles fuyaient à l’horizon, portant leurs pâles couleurs, peut-être le souvenir de leur destination. Parfois elles s’arrêtaient, butant sur une masse informe, ou bien sans raison, devant un butoir imprévu.Le soleil perça entre les nuages et la pluie déplaça l’horizon. Des couleurs transparentes inondèrent le paysage. Elles arrivaient par faisceaux obliques et s’arrêtaient dans les flaques.Les caténaires supportées par les poteaux rigides découpaient un autre plan et provoquaient par endroits un enchevêtrement inouï. Des reflets s’amusaient à renverser le ciel.Je ne regardais plus car je comprenais ces mondes parallèles.Parallèles ou les amours impossibles…Gilles PETIT

Après des années de peinture sur papier ou sur toile, l’envie me vint de donner de l’épaisseur à mes réalisations et de leur permettre de se détacher du mur. Pour cela, il m’a paru évident d’utiliser du carton gris que je coupe et colle pour créer des volumes. La rigidité du matériau est une contrainte pour donner une figure à mes petites constructions.

Ainsi, mes sculptures sont des formes qui prennent leur place dans l’espace avec leurs angles incisifs et leurs facettes blanches, ceci leur permettant d’affirmer leur épaisseur. Utiles ou inutiles, ces objets peuvent être des animaux stylisés, des vases pour fleurs séchées ou de simples boîtes. Ils restent toujours des supports pour un graphisme joyeux sur taches colorées.

http://gillespetit38.free.fr/index.htm

Lucie Tissier

« Nervures »

Du 5 février au 23 mars 2018

Inspirée par la nature sous sa forme humaine, animale, mais aussi végétale, Lucie Tissier offre, au cœur de ses œuvres peintes et dessinées un questionnement sur les rapports entre l’Homme et la Nature.

C’est au travers de diverses techniques : huile, fusain, encre … qu’elle exprime son ressenti et ses émotions au travers de sujets de plus en plus organiques.

Lucie Tissier veille souvent à  laisser une part d’inachevé afin de réaliser une peinture qui permet au spectateur de laisser son imagination spéculer. L’aspect inachevé revêt un côté énigmatique mais il s’agit également d’une recherche esthétique, qui lui permet de travailler sur le fond et la forme de diverses manières.

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http://lucietissier0.wixsite.com/artiste-peintre

Van THAI

« Aux frontières de l’inexploré »

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http://www.vanthai

Raconter l’indicible, à travers une écriture propre à soi et inéluctablement imprégnée de différentes influences artistiques et culturelles.

Faire émerger de soi les mouvements de son âme, les transcrire sur la toile par une harmonie de formes, signes et couleurs… et croire que cette harmonie, si par bonheur, rentre en résonnance avec celle du spectateur, le touche, le nourrit et le réconforte.

Le projet est ambitieux mais nécessaire.

Van THAI

Véronique Saudez

« D’arbres et de sérénité »

Véronique Saudez est née en 1963 dans les Ardennes. C’est dans les années 70 qu’elle commence à dessiner. Elle choisit ensuite de suivre des cours optionnels de peinture pendant ses années de collège en Belgique. Parmi les diverses techniques qu’elle découvre, la peinture à l’huile sera son moyen d’expression privilégié jusqu’à l’université.

Lorsqu’elle décide de reprendre ses études en 1993, Véronique entreprend un cursus d’Arts plastiques. Parallèlement, elle suit des cours d’histoire de l’art à l’Université de Grenoble, et fréquente l’Ecole des Beaux Arts de Grenoble de 95 à 97. C’est cette même année qu’elle obtient sa licence à l’Université de Paris I.

Depuis le début de ses études, Véronique peint à l’acrylique. Cette technique lui convient davantage. La rapidité d’exécution lui permet une certaine spontanéité dans la réalisation de ses toiles. Plus que le choix des sujets, la couleur est au cœur de sa démarche.

Véronique participe à diverses expositions collectives depuis 93 dans la région grenobloise.

 

Patrick Chanéac

Au premier regard une myriade de couleurs chavire le regard, invitation à la gaieté et au jeu ! Sous ce flamboiement étourdissant de teintes vives se cache une savante composition équilibrée ! Si le pas du spectateur est suspendu, alors il errera au gré de sa fantaisie entre les multiples graphismes et empreintes éparses !

L’œuvre se situe entre la sévérité de la construction géométrique et la poésie joyeuse !

Si la nature est omniprésente dans chaque tableau avec des éléments végétaux et des représentations disséminées de formes animales, l’œuvre n’oublie cependant pas la société industrielle en lui empruntant divers éléments afin d’en utiliser les empreintes.

Les compositions colorées évoquent souvent des pays lointains mais jamais nommés et l’œuvre s’inspirant de multiples pavages, par des effets cinétiques, joue avec le regard du spectateur.

http://patrick.chaneac.free.fr/

Muriel Ney

« Vertiges des corps »

etresencontact

Muriel Ney travaille souvent sur le thème de la rencontre, sentir comment deux formes entrent en contact, à distance, de plus près, comment elles s’effleurent, se cherchent, s’évitent, s’appuient l’une sur l’autre ou se fondent l’une en l’autre… Elle décline ce thème sur des sujets variés, et plus récemment celui de la rencontre des corps féminins et masculins.
Les peintures présentées à l’Atelier des Arts parlent de la rencontre et aussi du vertige, c’est-à-dire de la sensation de mouvement du corps ou de ce qui l’entoure, qui amène un trouble, une perte d’équilibre…
Au delà de l’image représentée, ces peintures invitent à se laisser toucher, guidé par son ressenti. On entre dans l’intimité de la peinture pour tenter de voir l’invisible, ressentir les formes, les matières, la vibration des couleurs, la fragilité des lignes… la vie !

http://mu.coherences.com

 

 

Christine Moniot

« Au delà des apparences »

logo CM

Après un DNSEP aux Arts Décoratifs de Strasbourg, j’ai partagé mon temps entre l’architecture d’intérieur et la peinture.

Aujourd’hui, je me consacre entièrement à mon activité de peintre afin d’obtenir la continuité indispensable à l’aboutissement de mon travail. 

Poser mon regard sur la diversité des apparences et aller au cœur de nos sens en ouvrant la porte aux émotions qui émanent de nos vies, nous nourrissent et nous guident au-delà du paraître.

M’en imprégner, les concrétiser en leur donnant vie au travers de mes toiles et ainsi en faire le support à des voyages imaginaires.  

S’opère alors l’alchimie  donnant  forme, avec comme support la couleur et les matériaux à ma perception de l’instant.

« Je vous laisse libre d’entrer dans mon travail,

d’en ressentir vos propres émotions et réactions.

Lorsque je termine une toile,

elle ne m’appartient plus, elle est à vous »

Web: chrispaceart

Facebook : Artiste Peintre Christine Moniot

Mail: ios.chri@gmail.com

Svetlana  Arefiev

Texte de présentation

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http://www.svetlanarefiev.com/

Eric Alfieri

dossier de presse

Melle.

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Melle est née en 1975 à Grenoble. Petite, elle dessine comme tous les enfants, puis oublie tout ça pendant plus de 20 ans. Et puis un beau jour de 2010, tout revient : besoin d’exprimer les choses sur lesquelles elle n’arrive pas à mettre de mots, et de montrer aux gens de quelles couleurs elle se chauffe.
Elle commence par dessiner et colorier ses démons et ses Cauchemars. On y trouve des petites filles en colère, des femmes furieuses et agressives, des hommes à têtees d’oisaux, des relations humaines pleines de complexité. Le lieu où se colorent ses angoisses, ses blessures, ses contradictions et ses paradoxes.
Puis, un peu libéré sûrement, le crayon se met ensuite à évoluer au fil du hasard. Ce sont les Paréidolies. Melle dessine ce qu’elle voit dans ses couleurs. Aux couleurs et personnages tourmentés s’ajoutent désormais des femmes apaisées, des espoirs et des joies, des gens. Et surtout, du mouvement.
En 2014, de nouvelles envies de couleurs et de sujets émergent : du doré, des dames aux allures « Bouguereau-idiennes », une inspiration art nouveau. Ce sont les Nymphes. La peau, la chair et la lumière deviennent ses nouveaux sujets de prédilection. La Femme est désormais sûre d’elle, épanouie, sereine, indépendante et s’affirme pleinement.
En 2015, une nouvelle série se profile : « Regarde-moi », un travail sur le regard, le rapport à soi et à l’autre.

www.melle-la-colorieuse.com
www.facebook.com/Melle.la.Colorieuse
www.google.com/+Melle-la-colorieuse

 

Alma

Née au cœur des Hautes-Alpes, dans un gros village « EMBRUN », baignée dans une source d’inspiration, j’ai grandi dans l’ombre d’une éducation trop protectrice et détournant de ma destinée, le besoin de peindre est survenu comme une deuxième nature ! C’est grâce tout de même à deux rencontres masculines que cette passion va s’affirmer :
. En m’enlevant à ma campagne Jean-Luc, mon mari, m’a ouvert les yeux et le cœur sur le monde de l’art. Il a cru en moi et m’a ainsi aidé à développer avec plus d’assurance cet Amour de la peinture.
. Ma deuxième chance se nomme « Claude Blanc-Brude » peintre de renommée internationale, avec lui les capacités sont extirpées, filtrées tel un nectar toujours plus pur dans son essence et son identité. Avec ses exigences et sa générosité, je dois beaucoup à ce père spirituel.
Difficile de présenter ma démarche picturale, mais je vais m’y risquer :
Tout d’abord, pas de préméditation, uniquement de l’improvisation, l’essentiel étant le « feeling ».
Je me définie comme un « free jazzwoman » de la peinture
Je provoque le hasard pour créer une atmosphère de mystère et entrer dans un nouveau monde.
J’ose l’aventure, le risque sans savoir ce qu’il va se passer et me surprendre par le résultat.
A chaque nouvelle toile, je m’étonne comme une enfant.
J’ai aussi besoin de partager mes émotions, c’est peut-être le meilleur ambassadeur pour aller à la rencontre des gens, se laisser porter par les vagues de l’inspiration et se donner rendez-vous sur fond de toile à l’autre bout de la traversée de la communication et de l’étonnement …
Si la peinture était un prétexte pour mieux se comprendre, … Alors quel joli prétexte!

Cécile Becq

Née en 1979, j’habite Grenoble depuis 2005.
Après des études artistiques, ne pouvant trancher entre deux activités qui me sont essentielles, je  décide de poursuivre une voie à deux branches : Une consacrée à l’illustration jeunesse et l’autre à la peinture.
La première  me permet de travailler dans le milieu de l’édition  et de rester connectée au monde de l’enfance que j’affectionne particulièrement. La seconde, quant à elle, me permet d’exprimer une autre partie de ma personnalité et de présenter mon travail auprès d’un public différent.
Depuis 2010, je crée des paysages qui invitent à une réflexion intime afin d’ inciter le spectateur à se projeter mentalement dans ces paysages pour y déceler des mystères qui n’appartiennent qu’à lui.
A partir de 2015,  j’aborde un nouveau langage visant à poursuivre mon exploration de la perception émotionnelle à travers la peinture.
Mes « paysages » deviennent plus intimes et tendent davantage vers l’abstraction.
Le spectateur se projette dans un espace inconnu et déroutant. les titres de cette nouvelle série ne le dirigent plus expressément vers le paysage comme c’était le cas avec la série précédente. Ici, on est dans le ressenti, l’insaisissable.
Les contrastes de lumières et de couleurs sont plus violents. La couleur jaillit et s’intensifie. Les peintures sont comme des flashs, des bribes de souvenirs, une mise en abyme de notre inconscient. Ils chahutent notre vision et nous ébranlent.
La peinture devient un territoire sensible et poétique, une écriture pour dépeindre un lieu immatériel, bouillonnant et trouble.

http://cecilebecq.canalblog.com/
becq.cecile@gmail.com
06 07 46 39 51

Joseph Caprio

Depuis le début de ma création, n’était que l’humain dans mon travail et c’est la rencontre à l’autre qui est l’axe fondateur de ma démarche, d’où mon travail de portrait. Ma photo est mise en scène, composée, les magazines feuilletés achetés par ma mère ou ceux sur les chanteurs dans les années 60 me donnent mes premières émotions photographiques. J’étais alors enfant ou ado. Je découvrirai plus tard les grands noms de l’image. Ce n’est pas encore l’heure, c’est juste le moment de découvrir. Mais, pour autant, mon engagement de citoyen ne se situe pas dans mon geste artistique et je n’ai pas voulu me fondre dans une mouvance de photo à caractère social.

De suite, le ton est donné : point de vieilles pierres, point de paysage, point de photo de nature non plus. Ce sont les gens qui m’intéresseront ! Portraits, attitudes. Ma sœur prenant des cours de danse, je m’initie très tôt à la photo de mouvement et puisque Jean-Claude Gallotta est élève de la même école, c’est moi qui vais être le premier à le photographier. Cela me donne goût à l’image de spectacle : danse, théâtre, musique, chant. Je participerai ainsi à un livre en hommage au festival de jazz de Vienne et, plus tard, à d’autres, dédiés à divers chanteurs dont Barbara et Sylvie Vartan.

Un peu plus tard, à une époque où le corps de l’homme, dans sa représentation photographique était totalement tabou, il l’est toujours autant aujourd’hui, quoi qu’on veuille dire, je fais le choix de poser un acte fort, celui d’explorer les diversités dans la représentation de la masculinité, tout comme le fait Jean-François Bauret lorsqu’il présente son livre « Portraits d’hommes nus, connus ou inconnus ». Je commence alors à montrer mes photos dans des expositions puis, très vite, je rencontre un éditeur suisse, Pierre-Marcel Favre, qui édite mon premier livre et me voici, après seulement quelques années, sur la voie d’une recherche photographique. Depuis, les choses s’enchaînent, s’affinent, mon travail évolue et se transforme.

Maintenant, une certaine maturité aidant, mon regard revient vers ce que j’ai délaissé ou mal photographié à mes débuts : l’architecture, les arbres, la nature, les fleurs. Mais ce plaisir là n’est pas l’essentiel de ma recherche qui est, et reste l’humain. Et surtout ma recherche sur le corps, tous les corps.

Joseph CAPRIO
06 10 11 30 40

David Constantin

David CONSTANTIN vit et travaille à GRENOBLE. Il utilise la photographie comme un langage narratif par lequel chaque cliché a valeur de mot. Image après image, une histoire se construit. Ses clichés sont le résultat d’une mise en scène organisée et réfléchie. Dans ses travaux récents, il aborde la possibilité de la restitution des fragments d’un rêve (« Un rêveur, un soir d’été », Grenoble, 2015) ou embrasse du bout des yeux la sensualiyé de l’intimité d’une chambre d’amour (« Moi non plus », Lyon, 2015). Lauréat du concours Notre-Dame-Très-Cloître (Grenoble 2012), deuxième au concours de photographie de Dax (2011). Ses photographies ont été exposées à Grenoble, Lyon, Annecy, Strasbourg, Le Touquet-Paris-Plage (Trophée Alain Godon 2012 ), Draguignan (L’été contemporain Dracennois et les Contes défaits 2012 ) et Aix-en-Provence.

www.davidconstantin.com
https://www.facebook.com/David-Constantin-photographe-379015858890999/

Murielle Ouarab

Biographie
Française, née à la Tronche en Isère le 23 août 1966.
La rencontre avec l’artiste Martine Petiot en 1993
impulse la carrière artistique. Commence à peindre
à l’aquarelle, suivront la peinture à l’huile et l’acrylique.
Se forme à différents ateliers artistiques et passe la Licence
d’Art Plastiques à 34 ans.
La créativité et la métamorphose occupent une place majeure
dans sa démarche artistique.

Démarche
« J’entrevoie la création comme une philosophie, celle de poser des questions sur nos mythes, nos symboles, notre histoire. Je tente par la pratique artistique de répondre aux interrogations universelles. Mes oeuvres témoignent de mes ressentis et de mes émotions.. »
Les œuvres « Babylone » sont le fruit du questionnement de la destruction des twins Towers du world trade center en 2001. La similitude du récit biblique est venu naturellement en eccho. Pourquoi les mêmes actes se repettent ? L’homme souhaite accéder à la puissance sprituelle mais il ne fait que perpétuer une puissance destructive faite d’orgueuil et de violence.
Babylone ne serait que le paradis perdu d’un désir non assouvi. Accéder à la toute puissance.

Formations et diplômes Arts Plastiques
2004 LICENCE d’Arts Plastiques
UFR 04 SCIENCE DE L’ART Université Paris 1-PANTHEON-SORBONNE
2000 DAEUA (option littéraire) Diplome D’aptitudes Aux Ecoles Universitaires CUEFA DE GRENOBLE
Depuis 1993 Formation à l’Ecole d’Arts de Grenoble: Peintures à l’huile avec Claude Blanc-Brude, Modèle Vivant Yves René Deshairs, Gravure avec Blandine Leclerc, Aquarelle Yves rené Deshairs, Performance/installation avec Slimane Raïs. Initiation à la fresque.
2006 Centre Autograph Paris Rough et mise en Page.
2012-2013 Aquarelle avec David Taylor et Ben An Cao Artistes internationaux

Alissa

Alissa explore la ville au fil d’une série de paysages urbains crépusculaires, familiers et étranges. Des ruelles, des impasses, des places désertées où subsiste l’ombre minérale et chaude d’une possible humanité. La lumière atténue le sentiment d’abandon. Lumière à la fois revendiquée par la présence des éclairages publics, et source secrète de transparences bleutées et d’opacités carminées dont les mouvements d’opposition et de composition façonnent une architecture très spéciale. Au fond, le dessin est oublié, fondu dans les lignes-frontières furtives entre les régions colorées de l’image. De cette fusion nait une énergie noire et sereine qui absorbe nos regards. Les nuits des villes d’Alissa sont bienveillantes, elles nous réconcilient avec des paysages que nous savons inquiétants, durs, sombrement mystérieux comme le sont ceux des nuits des enfants.

Lary Stolosh

http://alissa-petit.com/

Jean Ribera

C’est à partir de 2003 que s’est exercé sur moi l’attraction du fer
Le métal comme matière première. L’acier comme un des matériaux les plus utilisés dans le monde et pourtant abandonné, jeté… Les vieux objets métalliques, je les transforme et les assemble pour leurs redonner une seconde chance de vivre. Sans modifier son caractère fondamental, sa réalité permanente, le fer devient un objet détourné.
Souder, forger, rendre le métal malléable jusqu’à ce que la métamorphose se produise : je deviens le mouvement par lequel les choses sont en devenir.
Donner à regarder, à ressentir, à interpréter… La déformation pour se créer un imaginaire rêvé, une solitude féconde donnant vie.
Une démarche de vagabondage lunaire au cœur de soi et du monde. Tendresse et puissance du cri. La poésie du regard de l’homme atout fer, au détour d’un égarement.

http://jean-ribera.fr/

Rosalie Hurtado alias Nina Moreno

et ses magnifiques luminaires : sculptureslumineuses.net

P1060453

Thierry Lambert

carte postale de Thierry Lambert

Thierry LAMBERT
Peintre, Graveur, Mail-Artiste, Faiseur de Livres-objets,
Ethnographe du Quotidien.

« En Permanence »

Musées :
– « la collection de l’Art Brut » collection Jean Dubuffet, Lausanne (Suisse), section Neuve Invention
– « la Fabuloserie » Dicy (Yonne), collection Caroline et Alain Bourbonnais
– « les Arts en Marges » Bruxelles (Belgique)
– « la Création Franche » Bègles
– « le musée d’Henry Ughetto » Lyon
– « le musée Anantole Jakovsky » Nice
– « le musée du Bizarre » Lavilledieu
– « le musée de l’Insolite » Loriol
– « la maison des Arts Vivants » Houlgate, musée Jean-Luc Parant

Collections Particulières :
– Bob Dylan, Salvatore Lombardo, Jean-Claude Dreyffus, Leopold Sédar Senghor, Jean Dasté, Orson Welles, Arturo Secunda, Michel Butor et bien d’autres
– aussi : Japon, Allemagne, Suisse, Belgique, Corée du Sud, Espagne, Australie, Russie, U.S.A. entre autres

Sites internet :
http://www.artotalmultimedia.com
http://www.carted.eu
http://www.art.insolite.com
caveli.free.fr
http://www.artsingulier.lesite.com
http://www.mapra.art.org
et d’autres…

 

 Margaux Salmi

Née en 1991 à Aurillac, Margaux Salmi commence à montrer son travail plastique en 2006 lors d’expositions collectives au sein de la société artistique du Cantal. En 2009, Elle déménage à Grenoble où elle fait également de la musique. Elle écrit, compose et chante au côté de Marc di Malta dans le groupe HaiZi BeiZi et depuis 2014, elle travaille seule sur le projet Rouge Renarde. Elle expose en Ardèche ainsi qu’à Grenoble.

Sous un angle fantastique et onirique, Margaux Salmi crée des scènes peuplées de monstres en situation, androgynes parfois, guerriers aux allures d’insectes, archétypes sexuels d’un bestiaire de l’union des contraires, fantomatiques, soit victimes soit bourreaux, tantôt exclus, adulateurs ou adulés. Certains sont des dieux mystiques. D’autres sont la masse. Quand leur environnement urbain ou naturel n’est pas représenté, l’intrication de leurs corps engendre le décor sur lequel des personnalités prennent le dessus.

Les déformations de leurs morphologies, les allures, les symboliques posturales et les mines, trouvent une affinité avec l’expressionnisme allemand ou chez l’art singulier. Les scénettes réalisées minutieusement ou au contraire à peine brossées se développent au gré d’un dessin automatique ou problématique : une dynamique surréaliste et évolutive agit sur des casse-tête de formes, de couleurs et de superposition des plans.

Sa manière de produire est intensive et nécessaire, dans un esprit d’invocation, de rituels quotidiens et de recherches.

Eric Demelis

« Eric est un artiste un peu par hasard. C’est suite à une liaison amoureuse et à une période de chômage qu’il commence à montrer ses dessins au crayon en 2010. Ceux-ci ne sont guère aboutis et répondent au besoin de s’occuper les mains comme on peut remplir une grille de mots croisés. Au besoin de calmer ses angoisses aussi.
Il découvre vite l’encre de chine à la plume et visite maintes expos d’art singulier avec son amie. Belle auberge espagnole que l’art singulier, peuplée d’artistes autodidactes aux parcours accidentés et originaux. Eric se reconnaît bien dans cet art qui n’a pas beaucoup de contours ni d’identité propre.
A force de dessiner et d’exposer sans trop se poser de questions sur la cohérence et la pertinence de son oeuvre, Eric développe un univers protéiforme au fil de techniques diverses, encre, acrylique, fusain , modelages.
Il dessine comme on passe ses nerfs sur quelque chose ou quelqu’un. C’est aussi une manière d’exister et de fuir le temps et les contraintes du présent.
Trop longtemps happé et dévoré par une vie normale dans laquelle il n’a jamais trouvé sa place, il fait partie des artistes malgré eux, sans autre solution que celle de créer et de transformer ses angoisses en objets d’art  »

Revue Cohues, septembre 2013

Gaspard Pitiot

gaspard pitiot texte bis

Hui Zheng

Je ne dessine pas ma tristesse,
La belle chose ne dure pas pour toujours, une heure, un jour, une semaine, un an, nul ne le sait, il se peut à chaque seconde qu’un changement survienne.
J’aime plonger dans mes souvenirs, j’aime penser les souvenirs,
Les souvenirs sont toujours plus vrai que le présent, ils sont vivants, grandissent avec nous et sont toujours là, il suffit juste d’ouvrir un tiroir.
Je n’ouvre guère mes yeux dans mes dessins,
Le monde réel est un spectacle, chacun joue son rôle différemment, c’est difficile de
percevoir lequel est vrai, lequel est faux, je ne peux juger.
Quelque soit le visage, le tableau est moi, s’agit-il d’un masque ?

Hui Zheng
www.hui-zheng.com

Tatiana Samoïlova

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Tatiana Samoïlova, artiste-peintre native de Saint Pétersbourg, réside à Grenoble depuis plus de 15 ans. Diplômée de l’Ecole des Beaux-Arts de Moscou, titulaire du DEA Histoire de l’Art à l’université Pierre Mendès-France de Grenoble.
Elle œuvre en s’exprimant principalement dans le graphisme et dans les techniques du collage.
Les œuvres de Tatiana Samoïlova s’inscrivent dans la grande tradition de l’art pictural russe. Elles procèdent de l’onirique tantôt non figuratif, tantôt visionnaire. Le vent semble souffler partout : il traverse l’espace, il secoue les cheveux, étire les figures et les mains, fait voler les oiseaux, les papillons, les feuilles mortes. Tout est aérien, tout nous interroge, tout vacille entre le plaisir et l’angoisse, le désir et la mélancolie.
Elle a réalisé une centaine d’expositions en France et à l’étranger : Belgique, Italie, Espagne, Allemagne, Pologne et Russie.
tél. : 06 87 56 86 61
contact@tatiana-samoilova.com

http://www.tatiana-samoilova.com/

Robert Jayet

« Robert Jayet, sculpteur dauphinois a appris très tôt, dans son parcours professionnel, la maîtrise du travail du fer et il a trouvé là, son moyen d’expression. Car, nourri de sa passion pour les arts égyptiens, étrusques et africains, son monde intérieur est d’une richesse inouïe, « qui ne le laisse jamais à court d’idée ». A 15 ans déjà, il créait son premier Don Quichotte !
Tel un couturier, Robert dessine, découpe la tôle, la martèle, la soude, la polit, la patine…il allie différents métaux, le chalumeau est son outil de prédilection. Souvent il cisèle les visages de ces personnages dans des pierres semi-précieuses ou les coule en bronze. Les silhouettes filiformes et élancées ainsi créées, interpellent par leur dimension tout en hauteur, à la fois fières, dominatrices et en même temps frêles, légères et mouvantes car bougeant au moindre souffle. Certaines, telles des gardiennes de cet univers insolite, semblent armées et prêtes à affronter tout danger éventuel alors que d’autres souriantes, parfois en groupe et parées de couleurs précieuses nous accueillent chaleureusement. Ce monde imaginaire est peuplé également de tout un bestiaire aux formes parfois énigmatiques ou élégantes comme ces oiseaux en plein vol !
Robert a exposé dans toute la région Rhône-Alpes notamment à Morestel, La Louvesc (Ardèche)… mais aussi à Limoges, à l’île d’Oléron et dans plusieurs galeries en France et en Irlande…
Enfin Robert est un artiste modeste, chaleureux et passionné qui sait donner une âme à ses créations. »(César)

http://www.robert.jayet.fr/

 

Une réflexion sur “Galerie

  1. Superbes nocturnes qui montrent Grenoble… sous un autre jour. Nous passerons à l’atelier à l’occasion d’un passage dans votre ville

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